Naïra Vermelha, Chef des vampires [Décédée]

(Je regardais mon ancienne fiche et j’étais décourager par… son allure… alors j’ai tout refaçonner… et approfondit)

Nom : Vermelha

Prénom : Naïra

Âge : 17 ans d’apparence, mais 211 ans en tout

Âge de transformation : Aucune… elle est la dernière vampire d’être née de deux parents vampires. La dernière vampire à avoir connu le soleil.

Armes : Naïra possédait de nombreuses armes dans son manoir, mais elle avait des préférences dont ses deux coutelas en argent au manches en bois d’acajous très solide. Elle aimait bien aussi son sabre en argent dont le manche étaient rouges sangs ce qui pouvaient faire douter de sa couleur d’origine, quelque filaments rouges étaient incrusté dans la lame tout près du manche. Elle avait aussi un fouet en cuir noir dont le bout était orné d’un petit crochet en argent gros comme les deux premières phalanges de votre petit doigts. Ce dernier était son favoris, elle le portait toujours ou presque sur elle, de plus il lui permettait de pouvoir jouer avec ses victimes. Elle possédait bien entendu un merveilleux fusil traditionnel noir et argent (mais pas en argent) qui était toujours empli de balles.

Description physique: Naïra… Naïra… Naïra que dire d’une jeune fille aussi… jeune. Et oui notre chère vampire possède un minois fort infantile dut au fait qu’elle n’était âgée que de 17 ans lors de l‘acquisition du poison qu’est l’immortalité. C’est pour cela qu’elle est passablement petite, mais la vampire savait en tirer avantage. Malgré son visage candide, doux et délicat, on peut voir dans ses yeux, brûlant avec une ardeur sans comparable une sagesse emplie d’année de dur labeur et de bataille incessante. Ce qui donne à son regard une mystérieuse force et grandeur. Au centre de ce visage de porcelaine, on peut toujours distinguer deux merveilleux yeux en forme d’amande dont le centre est orné d’un rubis flamboyant qui brille sans cesse d’une perversité meurtrière et d’une malveillance constante. Ses derniers sont soulignés de long cils noirs. Le visage de Naïra se continue sur un petit nez fin et retroussé. Ensuite, on tombe sur ses lèvres incarnates quelque peu pulpeuse souvent étirer en un mi-sourire arrogant. Bien entendu, lorsqu’elle dévoile ses dents blanches, on peut clairement voir ses deux canines assez longues et pointu pour s’incérer dans le chair de ses proies. Le tout entouré, de soyeux cheveux noirs jais qui descende en douce cascade sur son dos pour prendre fin sur ses omoplates.

Marchant la tête haute et le dos droit, la vampire possède un démarche princière vestige de ses gènes de haute aristocrate. Ses vêtements, toujours de haute couture, sont exactement à sa taille et épousent toujours bien ses formes avantageuses. La vampire est habituellement vêtu de noir, la couleur des êtres de nuit, mais aime tout de même le rouge et le blanc à l’occasion. Elle le porte habituellement une courte cape noir, mais à la fâcheuse manie d’être pratiquement en tout temps nue pied. Son corps si juvénile a-t-il l’air possède un très grande force, une souplesse et un agilité hors du commun autre vestige de son ancienne vie de noble… de fille de l’empereur de vampire… en plus du fait qu’elle était née naturellement en tant que vampire…

Caractère : Naïra est une personne à la personnalité plutôt complexe. Elle reste toujours plutôt dure à cerner pour n’importe qui. Son visage froid et dur ne laisse passer que de l’arrogance, de la grandeur et du dédain. Tout cela que pour faire le mal, mais derrière ce visage si froid pour ses traits d’adolescente, se cache étrangement un cœur tendre empli de solitude. La vampire avait été élevée pour régner, donc elle n’avait bénéficié d’aucune amitié, d’aucun amour de ses propres parents et des gens de son entourage. Plus jeune, elle ne s’en souciait pas… mais un jour son cœur connu l’amour et comprit qu’elle était beaucoup plus qu’une tueuse sanguinaire. Mais pour l’avoir exprimer son amour lui fut arracher. Puis, elle ferma à jamais son cœur… enfin c’est ce qu’elle ce dit… Malgré que son cœur soit scellé, les année la faisait sentir seule et impuissante.

Mais étant élevée pour se montrer fière et forte, Naïra ne laisse voir à personne que son cœur souffre affichant un regard suffisant. C’est pourquoi, elle fait preuve envers les siens d’une dureté et d’un sévérité qui est depuis le temps devenue légendaire. Elle n’accepte aucun faible dans son clan et se montre souvent agressive lorsqu’elle est en colère… mais la colère peut la mettre souvent dans de mauvaise posture. Elle fait preuve d’un grand leadership, car pour dirigé seule des centaines de vampires, une des races faisant preuve du moins de discipline, elle ne pouvait qu’être forte en ce domaine. Sinon, il y aurait longtemps qu’elle ne serait plus le chef. La chef des vampires déteste les traîtres et ne ressent aucune pitié à se débarrassé de ses êtres sans civisme.

Histoire : Il y avait exactement 211 ans, aux temps où le soleil léchait la peau des vampires sans briser cette mince membrane, par une nuit sans étoile, entre les pièces froides d’un immense château, le destin d’un royaume semblait scellé. Tous les regards étaient alors tournés vers une petite âme sanguinaire qui venait de voir le jour… enfin la nuit. Une certaine Satine Vermelha tenait entre ses bras une petite vampire, un simple bambin dont les canines n’étaient bien entendu pas encore développé. Ses yeux écarlates, sa peau blanche et l’attention qu’elle avait déjà en grand nombre faisait de cette petite fille la future impératrice du grand royaume des vampires.

Malgré tout, ce fut au grand désarrois de l’empereur Vermelha que sa femme mit au monde cette jeune fille, car depuis toujours la famille royale déposait sur le trône leur premier enfant et ils voyaient depuis de nombreuses générations un homme prendre les rênes. Depuis des milliers et des milliers d’année, c’était des hommes qui prenaient la tête du royaume, un simple hasard certains croient… d’autres racontent qu’il tuait leurs filles, question de garder le nom des Vermelha pour toujours sur le haut trône du royaume. Donc, dès ses premières heures sur terre, elle fut a promis à son cousin… portant bien évidement le nom Vermelha, pour que toujours et encore se perpétue cette génération sur le trône.

C’est ainsi, que la petite Naïra débuta sa vie dans un monde qui ne voulait d’elle qu’à moitié. La petite n’eut malheureusement pas le traitement de faveur que les autres empereurs purent avoir, car son père était un homme assez dérangé et cherchait à voir sa fille forte et puissante… enfin, il la voulait assez puissante pour se défendre seul, qu’elle apprenne à être craint. Donc à l’âge où elle fit ses premier pas, on lui mit un épée en bois dans les mains et un humain vivant en liberté comme proie. La petite Vermelha connut un des entraînements les plus durs qu’une vampire pue connaître. Bien sure, elle appris à se tenir en princesse et eut des cours théoriques sur l’économie et le règne chez les vampires, mais son père bâtit la plus grande partie de sa formations sur les cours pratiques. Son apprentissage se basa sur le discipline et le respect. Son entraîneur lui appris à détester toutes autres races autre que la sienne, en particulier ces piètres humains qui osaient se croire supérieur. En d’autres mots, son père décida de faire d’elle, une statue de marbre au dos tranchant, une arme de glace, une machine de guerre. Mais pourquoi agissait-il ainsi? Peut-être cherchait-il à la voir atteindre le force d’un homme pour remplacé son manque…

La jeune vampire vécut alors dans un monde froid où l’amour et l’amitié était présent que dans les bras de sa mère… Satine une femme si douce… sûrement la plus douce des vampire avec ses grands yeux bleus ciel, sa peau de porcelaine, ses petites mains douces et son cœur si tendre… Elle lovait sa petite tout près de son cœur pour la protéger du mal que son père étendait sur elle. Un encre noir si dense, qui sans sa mère pour la maintenir à la surface, celui-ci l’engloutirait… mais rare était les fois où elle retrouvait la chaleur maternelle. L’entraînement débutait tôt dans la journée et finissait tard le soir… Ce qui fit de la jeune fille exactement ce que sont père voulait… enfin presque…

Jusque là la jeune fille ne voyait pas cette vie comme un enfer, car c’était tout ce qu’elle avait connu et croyait que la vie se limitait à cela…

Mais comme si la cage de fer qui retenait cette furie naissante fut détruite, à l’âge de 11 ans, sa mère mourut… de quoi? Personne n’aurait eut le courage de le dire, mais tous en doutaient… L’empereur était un homme agressif qui avait tendance à boire trop et par moment à s’emporter; il lui arrivait de frapper des nobles et même fréquemment sa femme… Naïra ne versa pas une larme.

Ce fut là, comme si on avait coupé le seul fil qui tenait la petite à la surface de tout ce mal, mais contrairement à ce que sa mère pensait la jeune fille ne devint pas une furie. Elle sombra dans un océan noir, se refermant sur elle-même… La jeune Vermelha était devenue un âme fade dont le regard avait perdu tout éclat et dont le cœur n’était qu’une pierre froide qui ne sentait plus rien. Ne voyait plus rien. Ne croyait plus en rien…

Le temps avançait, son mariage avec son cousin se rapprochait et le mal prenait des proportions titanesque. À l’âge de 15 ans, elle vit pour la première fois son futur mari et fut bouleversée de voir cet homme si vieux aux traits si durs, au regard si froid… Son futur était donné à un homme hideux, qui s’avérait détestable… Dire qu’elle allait le marier dans seulement deux ans lui faisait un mal intense. Elle dut ce faire à cette idée, car malgré toutes ses implorations, son père ne broncha pas sur sa décision.

Le temps passa et Naïra continua à cheminer sur cette route cahoteuse que lui traçait son père. Toujours aussi perdue, elle flottait au-dessus de ce qui lui arrivait comme un fantôme. Elle atteint enfin ses 16 ans une seule année avant le moment fatidique.

Par un soir où la lune malade tentait de percer les minces nuages et où une fine brume flottait au sol, la jeune vampire se faufila hors du château pour se rendre jusque dans le forêt qui bordait la ville basse. Naïra avait réussit à dégoter au fils des années un endroit pour se ressourcer, pour empêcher à tout le mal qui l’emplissait d’exploser.

La jeune fille perça l’orée du bois sans émettre le moindre bruit et se faufila entre les arbres. Un silence emplissait la place et des fantômes brumeux dansaient gracieusement au sol. Vêtue d’une longue robe blanche, la jeune fille marchait doucement en frôlant en un frisson ses spectres blancs tout en laissant son esprit vagabonder.

Soudain comme la première note de l’orgue résonant dans la cathédrale, un craquement sonore retentit entre les arbres. Naïra cessa de marcher brusquement et scruta les alentours. Ce aurait pu être un simple animal nocturne ou simplement un arbre craquant sous le poids de l’âge, mais les sens assidus de la jeune vampire lui indiquait une présence, une forte présence. En un saut, les croc sortis, elle bondit exactement sur l’auteur du bruit. Ce dernier tomba sur le dos avec la vampire en califourchon sur lui les deux mains agripper à ses larges épaules le maintenant au sol.

« Oh là! Damoiselle! Un peu de calme. » s’exclama le jeune homme en riant tout haut.

Qu’arriva-t-il ensuite!? Tout là est la beauté de l’histoire, un geste des plus inattendu et des plus inopportuns venant de la futur impératrice, le jeune homme reçu une simple claque au visage.

« Vous savez que c’est mal d’observer les jeunes dames à leur insu » lui dit-elle l’œil brillant.

Elle se leva gracieusement…

Comment l’histoire se continua…? Je ne vous le conterez pas en détail, mais ils discutèrent de longue heure et se revirent le lendemain, le surlendemain et ainsi pendant plusieurs semaines. Naïra Vermelha put apprendre que ce magnifique jeune homme de 17 ans était un vampire qui travaillait comme apprentis forgeron et dont la famille était considérer dans le bas de la société. Ainsi chaque nuit, ils se voyaient et vous ne vous en douterait jamais! Ils tombèrent en amour. Naïra appris à sourire, à apprécier les simplicités de la vie et surtout à aimer, aimer avec tant d’ardeur… Elle découvrit que cette source d’eau vive était en tout temps remplis avec son Ewan et que l’on ne pouvait pas se lasser de son goût sucré. Son cœur de pierre s’attendrissait tant tout près que son amour, comme si la pierre devenait du magma brûlant. Elle revoyait le monde sur un autre angle. La jeune vampire ne pouvait plus s’imaginer vivre loin de son amour sur lequel elle pouvait se lover chaudement.

Mais tous bonheurs connaissent ses malheurs et le mal vint lorsqu’elle atteint ses 17 ans, l’âge où elle devait donner sa main à son fiancé… Une semaine avant son mariage, elle décida d’ignorer le chemin que lui avait tracé son père et fit son baluchon pour s’enfuir avec son vrai amour. Elle se glissa hors du château quelques heures avant l’aube avec la ferme intention d’aller loin, loin, si loin qu’elle et Ewan pourrait vivre heureux et tranquilles.

Le roi fut furieux le lendemain matin de ne pas retrouver sa fille… il mit tout le royaume en alerte et offris une forte récompense à ceux qui retrouverait sa fille. Vous comprendrez que les tourtereaux ne purent se rendre bien loin avant qu’une personne reconnaisse la princesse… Ils durent fuirent, se cacher, mais ce jeu ne dura que quelques jours avant que la garde royale les ramènent de force au château…

Naïra assise en amazonienne sur un cheval à l’avant du garde se débattait de toutes ses forces pour enlever les cordes qui lui brûlaient les poignets et pour enlever ce bâillon qui l’empêchait de crier. Ewan était saucissonné inconscient sur le dos d’un autre cheval. Il avait tenter de la sauver, mais un garde lui avait assénez un violent coup sur la tête avec le pommeau de son épée… Naïra se promit à l’avenir de ne plus se laisser avoir.

Arrivée au château, on l’empoigna avec force et l’entraîna dans la salle du trône où son père était installé sur son majestueux siège. Ewan la suivait de prêt. L’homme qui le traînait lui envoya un coup derrière les genoux afin qu’Ewan s’agenouille et l’empoigna par les cheveux pour lever sa tête vers le roi. La jeune vampire poussa un faible cri désespéré lorsqu’elle vit le visage de son amour crispé de douleur. Le roi furieux la hurla de se taire, puis retourna son regard vers Ewan qui restait muet, mais on pouvait lire la colère dans ses pupilles.

« Le voilà le malfrat, qui a enlevé ma tendre fille! », cracha l’empereur en se levant de son trône.

D’un mouvement sec, il replaça sa cape et descendit les marches du trône pour examiner le visage de l’homme. La tête haute, le nez plissé de dédains, Vermelha était le magnifique portrait du roi bien en chaire qui a perdu toute la grâce de ses jeunes temps. Un simple regard démontrait qu’il n’attrapait plus ses proies de lui-même depuis des années. Sa tête presque dégarnie était ornée d’une couronne qui avait été déposée habillement sur les quelques cheveux blancs qui entouraient son crâne. De ses vêtements luxueux à ses souliers de cuir ornés d’or en passant par ses doigts emplis de diamants tout démontrait que cette homme était un roi riche et puissant avare de pouvoir. La seule chose que Naïra tenait de lui, c’était ses yeux rouges sang où brûlait une haine inouï. Ce dernier détourna son regard du vampire qui d’après lui avait ravi sa fille et ce tourna vers celle qui était destiné à prendre sa place.

« Naïra, dit-il avec la voix la plus haut perché que pouvais atteindre l’empereur. Ton mariage est prévu pour demain à l’aube. »

Il se retourna vers Ewan et leva les yeux vers les gardes.

« Tuez-le, dit-il, sans plus.

- Non, Sir!!, s’écria Naïra. Vous ne pouvez faire une chose pareille! Je l’aime… je l’aime... tant. »

Une main partie dans le vide et frappa de plein fouet la joue de la princesse qui resta debout figé, muette de stupeur.

« On ne remet pas ma parole en question, ingrate! Tu ne sais pas ce qu’est la vrai amour... et ce vampire ne peut te l’offrir. »

Vermelha se retourna et fit un signe las de la main à ses gardes. Le bruit de ses pas percutèrent les murs de l’immense pièce avant qu’il disparaisse dans une des portes.

Puis ce fut un long silence, si long qu’il parut éternelle, dans ce silence incompris, un bruit sourd, un craquement puis le bruit de roulement que fit la tête d’Ewan en tombant au sol. Désemparée, la princesse s’écroula dans le sang de son amant le cœur en pièce. Comme si toute la tristesse retenue au creux de son cœur s’écroulait, Naïra laissa échapper une longue plainte de désespoir recelant tous les malheurs passés et tous les malheurs qui allaient suivre. Elle rampa vers le corps estropié d’Ewan et posa sa tête sur sa poitrine laissant libre les larmes sur son visage. Emplie de sanglot sans fin, Naïra était sans force, son cœur lui avait été enlevé… tout ce qu’elle possédait! Elle n’avait pas demander gros… seulement… seulement l’amour…

Il était mort et elle ne pouvait plus rien y faire.

Quelques heures plus tard, on l’amena de force jusqu’à sa chambre et son père pris soin de la faire attaché à son lit par les poignets pour qu’elle ne s’enfuit pas pendant la nuit. La jeune fille était à présent étendu sur son lit, des perles roulant à torrents sur ses joues et le cœur ne cessant de saigner. La vampire avait beau tirer, pousser, crier, elle ne pouvait se défaire de ses liens. Elle ne cherchait pas à s’enfuire, mais à libérer ses mains pour atteindre son poignard sur sa commode. Elle ne voulait qu’une chose; mourir. Là à l’instant et ne pas avoir à affronter le lendemain, mais elle ne pouvait même pas porter ses mains à son visage… comment s’enlever là vie alors?

Puis d’un seul coup, elle cessa de bouger. La respiration saccadée, elle ferma les yeux pour se calmer, son cœur reprenait un rythme normal, malgré qui lui serrait toujours si fort. Les yeux toujours fermés sans dormir, elle resta là immobile espérant que peut-être la faucheuse viendrait la chercher par elle-même. Peut-être viendrait-elle abréger cette souffrance…

Soudain, un bruit se fit entendre dans la pièce et une odeur familière vint chatouiller les narines de la suceuse de sang. Une odeur douce de baie sauvage, de romarin et de cannelle. Voilà l’odeur qui coulait voluptueusement dans les veines des humains. Mais celui-ci possédait un fumet plus intéressant, plus piquant, un fumet royal. Elle sentit les pas silencieux s’approcher de son oreille, puis le tintement métallique d’une arme qu’on glissait de son fourreau. Les yeux toujours fermés, la jeune fille attendait avec impatience son heure, Sangre, la déesse des cieux, avait écouté sa requête et lui avait livré la mort, enfin, c’est ce que Naïra croyait. La libération se présenta enfin, elle sentit le contact froid de la lame sur sa peau, puis le contact brûlant de la lame qui transperçait les vestiges de son cœur. C’est à ce moment qu’elle ouvrit ses yeux flamboyant et put apercevoir le visage du jeune Cazador, son bourreau.

La faucheuse lui pris la main et elle fut tirée vers le trépas.

Naïra ouvrit brusquement les paupières et porta sa main à son cœur qui serrer comme jamais semblait vouloir exploser. Vide, plus aucun battement… elle était morte? Mais que faisait-elle assise dans ce mausolée entourée de ses fleurs? C’est alors qu’une lumière aveuglante illumina la jeune vampire et apparut dans toute sa splendeur, la grande et puissante déesse, Sangre. Cette déesse que Naïra appris à aimer selon sa religion. Grande, imposante, paré d’un simple robe blanche, elle posa ses yeux bleus sur la jeune fille au visage apeuré.

« N’est point peur jeune vampire, je ne veux aucun mal. Tu dois te demander le pourquoi et le comment de ta renaissance? dit doucement la maîtresse des cieux comme un mère à sa fille. Pauvre petite fille, tu sembles si perdue. Tu ne devais pas mourir, ta destiné n’avait pas encore atteint son apogée et tu aurais fait tant pour ton peuple. Ces Cazadors!!! Ahhh! Il n’aurait jamais dut agir ainsi. Te voilà libéré, vas… »

Naïra bouche bée ne put sortir le moindre mots d’entre ses petites lèvres fines. Tout la dépassait… sa mort, sa renaissance, la déesse. Sangre lui sourit puis se retourna pour partir, mais s’arrêta comme si elle avait négligé quelque chose.

« Ah oui! Tu vas devoir changer ton mode de vie… Certaines choses te seront inaccessibles et… rassure toi, tu ne connaîtras plus jamais la mort. » ajouta la déesse avant de disparaître dans un volute de fumée noire.

(Ah le temps où Sangre était presque saine d’esprit… ^.^)

La jeune princesse se secoua la tête. Tout cela ne pouvait être possible… elle devait être morte… peut-être était-elle un fantôme? La jeune fille se leva et se dirigea vers la porte de pierre de son tombeau et assena un violent coup de pied qui fit éclater la pierre pour laisser entrer un rayon de soleil. C’est alors que la malédiction pris forme, le rayon atteint la peau de la jeune fille qui se mit à grésiller comme si on posait un fer chauffer à blanc sur son bras, un cri perçant s’échappa de sa gorge avant qu’elle ne saute à l’ombre en se tenant fermement le bras. La douleur était insupportable. Voilà ce que la déesse voulait dire pas changer de mode de vie… Elle lui avait offert une vie empoissonné, un pseudo-vie sans fin. Naïra resta ainsi cacher jusqu’à ce que le soleil soit engloutit dans les enfers. Pendant le temps qui passait la jeune fille eut le temps de médité sur les évènements passés. Puis tous ses maux refirent surface et son cœur se tordit.

Outre sa haine pour son père et pour son cousin une nouvelle haine naquis, celle pour le jeune Cazador. Mais sa haine n’était pas pour avoir voulu la tuer, mais pour l’avoir raté, parce qu’elle était toujours de ce monde maudit. Elle ne cherchait qu’une chose à présent, sa vengeance, il payerait de ses actes. On dit que la vengeance est un plat qui se mange froid, mais Naïra n’attendit pas de faire refroidir son plat et but son sang chaud, même brûlant. Le jeune homme perdu vie entre ses mains et la jeune fille n’en ressentit que du plaisir. Naïra le petite princesse était alors devenue la vampire sanguinaire de grand renom qu’elle était maintenant.

Ce fut quelque quelques temps après, qu’un quatrième haine naquis celle pour la déesse qui lui avait donner cette « vie » empoisonnée. Lorsqu’elle fut enfermé dans Dark Shadows, cette ville de malheur, Naïra compris que son mal ne cessera jamais. Elle avait vécu tant de mal et allait en vivre tellement…

Cette nouvelle vie commença alors dans Dark Shadows ou rapidement elle pris la tête de sa race… La chef des vampires eut droit à trois races rivales dans la même petite ville. Et se retrouva seule, deux chagrins refoulés au creux de son cœur poussés par le poids d’une race dont le cœur n’était que de pierre qui ne cherchait qu’à prendre place de la chef de vampire… Donc elle dut à se résigner à être sévère, dure, froide et appris à prendre plaisir à tuer et à se battre, c’était son seul réconfort. Elle se retrouva seule face à un monde qu’elle avait du mal à cerner. Elle appris à connaître ses rivales… et sa haine pour Maël Cazador s’étendit sur les deux autres Cazador… Naïra fit face à Jeck et la jeune Pearl à plusieurs reprises… Tentant de protéger sa race qui d’un barre où l’autre était détesté… Elle fut reconnu comme la vampire la plus cruelle. La torture n’avait plus de secret pour elle, car elle lui fut enseigner par les personnes qu’elle déteste le plus au monde, de son père jusqu’à Sangre… Et jour après jour, elle ne peut effacer de son esprit les traits fins et doux de son Ewan.

C’est écorchée par son passé, lacérée par son présent et découragée par son futur que la petit Naïra continu de faire semblant de vivre…

Signe particulier : Une cicatrice entre deux côtes au niveau du cœur

» }|{ Pearl Alma }|{ Chef des Harpies }|{
» Jeck Lydre *(Chef des Lycans)*
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